brûlure

(dans les territoires avec usage significatif TRAMIL)

République dominicaine:

  • bija

Haïti:

  • woukou
Usages significatifs TRAMIL

graine, écrasée, en application locale2
graine écrasée, frite dans de l’huile (de coco ou autre), en application locale2-3

Recommandations Préparation et Posologie Références

Selon l’information disponible :

L’emploi contre la conjonctivite est classé REC basé sur l’usage significatif traditionnel documenté par les enquêtes TRAMIL, les études de toxicité, de validation et l’information scientifique publiée.

Toute application sur les yeux doit obéir à de strictes mesures d’hygiène pour empêcher la contamination ou une infection surajoutée et éviter le contact avec des substances irritantes pour la conjonctive.

L’emploi contre les brûlures est classé REC basé sur l’usage significatif traditionnel documenté par les enquêtes TRAMIL, les études de toxicité, de validation et l’information scientifique publiée.

Limiter l’emploi traditionnel à des brûlures superficielles (lésion épidermique) peu étendues (moins de 10% de la surface corporelle) et localisées en dehors des zones à haut risque telles que le visage, les mains, les pieds et les parties génitales. Employer la préparation exclusivement en application locale.

Toute application topique doit obéir à de strictes mesures d’hygiène pour empêcher la contamination ou une infection surajoutée.

L’ingestion de l’huile provenant de la graine peut provoquer des réactions d’hypersensibilité.

Ne pas administrer pendant la grossesse, en période d’allaitement ni à des enfants de moins de 12 ans.

L’arille autour de la graine de Bixa orellana constitue un colorant et un condiment de consommation humaine relativement étendue.

Contre la conjonctivite :
Préparer une décoction avec 30 grammes de feuilles dans 4 tasses (1 litre) d’eau, bouillir pendant 5 minutes dans un récipient couvert. Laisser refroidir, filtrer la préparation avec un linge avant de faire un lavage oculaire toutes les 2-4 heures.

Travail TRAMIL33
Contre les brûlures superficielles :
Frire 10 grammes de graines écrasées dans 40 millilitres d’huile végétale et laisser refroidir.
Laver la lésion avec de l’eau bouillie et du savon, appliquer en quantité suffisante sur la peau de la zone affectée. Couvrir avec une compresse ou un linge propre et changer toutes les 12 heures.

Toute préparation médicinale doit être conservée au froid et utilisée dans les 24 heures.

1 DELENS M, 1990
Encuesta TRAMIL en Barlovento, Edo. Miranda. Centro al Servicio de la Acción Popular CESAP, Caracas, Venezuela.

2 GERMOSEN-ROBINEAU L, GERONIMO M, AMPARO C, 1984
Encuesta TRAMIL. enda-caribe, Santo Domingo, Rep. Dominicana.

3 WENIGER B, 1987-88
Encuesta TRAMIL. enda-caribe, Santo Domingo, Rep. Dominicana.

4 GUPTA M, ESPOSITO AVELLA M, 1988
Evaluación química y farmacológica de algunas plantas medicinales de TRAMIL. CIFLORPAN, Universidad de Panamá, Ciudad de Panamá, Panamá. TRAMIL III, La Habana, Cuba, MINSAP/enda-caribe.

5 ANGELUCCI E, ARIMA HK, KUMAGAI EA, 1980
Annatto. 1. Preliminary data of the chemical composition. Col Inst Technol Aliments 11:89-96.

6 TIRIMANA ASL, 1981
Study of the carotenoid pigments of Bixa orellana L. seeds by T.L.C. Mikrochim Acta 2:11-16.

7 MERCADANTE AZ, STECK A, PFANDER H, 1997
Isolation and structure elucidation of minor carotenoids from annatto (Bixa orellana L.) seeds. Phytochemistry 46(8):1379-1383.

8 CRAVEIRO AA, OLIVERIRA CLA, A-RAUJO FWL, 1989
The presence of geranil-geraniol in Bixa orellana Linn. Quim Nova 12(3):297-298.

9 MERCADANTE AZ, STECK A, PFANDER H, 1999
Three minor carotenoids from annatto (Bixa orellana) seeds. Phytochemistry 52(1):135-139.

10 JONDIKO IJO, PATTENDEN G, 1989
Terpenoids and an apocarotenoid from seeds of Bixa orellana. Phytochemistry 28(11):3159-3162.

11 GALINDO-CUSPINERA V, LUBRAN MB, RANKIN SA, 2002
Comparison of volatile compounds in water- and oil-soluble annatto (Bixa orellana L.) extracts. J Agric Food Chem 50:2010-2115.

12 FELICISSIMO MP, BITTENCOURT C, HOUSSIAU L, PIREAUX JJ, 2004
Timeof-flight secondary ion mass spectrometry and X-ray photoelectron spectroscopy analyses of Bixa orellana seeds. J Agric Food Chem 52:1810-1814.     

13 MERCADANTE AZ, STECK A, PFANDER H, 1997
Isolation and structure elucidation of minor carotenoids from annatto (Bixa orellana L.) seeds. Phytochemistry 46(8):1379-1383.

14 DUKE JA, ATCHLEY AA, 1986
Handbook of proximate analysis tables of higher plants. Boca Raton, USA: CRC Press. p27.

15 LAWRENCE BM, HOGG JW, 1973
Ishwarane in Bixa orellana leaf oil. Phytochem 12:2995.

16 HARBORNE JB, 1975
Flavonoids bisulphates and their co-occurence with ellagic acid in the Bixaceae, Frankeniaceae and related families. Phytochemistry 14(5-6):1331-1337.

17 HUAMÁN O, SANDOVAL M, ARNAO I, BEJAR E, 2009
Efecto antiulceroso del extracto hidroalcohólico liofilizado de hojas de Bixa orellana (achiote), en ratas. An Fac Med 70(2):97-102.

18 RAGA DD, ESPIRITU RA, SHEN CC, RAGASA CY, 2011
A bioactive sesquiterpene from Bixa orellana. J Nat Med 65(1):206-211.

19 CACERES A, SONIA GONZALEZ S, GIRON LM, 1998
Demostración de la actividad antimicrobiana de plantas tramil en base a los usos populares en la cuenca del Caribe. Informe TRAMIL. Laboratorio de Productos Fitofarmacéuticos Farmaya Guatemala, Guatemala.

20 WENIGER B, 1992
Etude sur Bixa orellana. Rapport TRAMIL. Faculté de Pharmacie, Université de Strasbourg, Illkirch, France. TRAMIL VI, Basse Terre, Guadeloupe, UAG/enda-caribe.

21 SERRANO G, SANDBERG F, 1988
Actividad antiinflamatoria de Bixa orellana: Informe preliminar TRAMIL. Universidad de Uppsala, Uppsala, Suecia. TRAMIL III, La Habana, Cuba, MINSAP/enda-caribe.

22 PAZOS L, COTO T, CAIZA F, 2008
Antiinflamatorio tópico, en ratones, de las semillas de Bixa orellana. Informe TRAMIL, Laboratorio de Ensayos Biológicos, LEBi, Universidad de Costa Rica, San Pedro, Costa Rica.

23 GEORGE M, PETALAI KM, 1949
Investigations on plant antibiotics. Part IV. Further search for antibiotic substances in Indian medicinal plants. Indian J Med Res 37:169-181.

24 ROJAS JJ, OCHOA VJ, OCAMPO SA, MUÑOZ JF, 2006
Screening for antimicrobial activity of ten medicinal plants used in Colombian folkloric medicine: A possible alternative in the treatment of non-nosocomial infections. BMC Complement Altern Med 6:2.

25 PAZOS L, COTO T, CAIZA F, 2008
Toxicidad oral aguda, dosis repetida, en ratón, semillas de Bixa orellana. Informe TRAMIL. Laboratorio de Ensayos Biológicos, LEBi, Universidad de Costa Rica, San Pedro, Costa Rica.

26 GARCIA D, SAENZ T, 1995
Toxicidad aguda de algunas plantas TRAMIL. Informe TRAMIL. Farmacognosia, Facultad de Farmacia, Universidad de Sevilla, Sevilla, España.

27 MARTINEZ MJ, BETANCOURT J, LOPEZ M, MOREJON Z, FUENTES V, MORON F, 2005
Irritabilidad dérmica de semilla seca de Bixa orellana. Informe TRAMIL. Laboratorio Central de Farmacología, Facultad de Ciencias Médicas “Dr. Salvador Allende”, La Habana, Cuba.

28 MARTINEZ MJ, BETANCOURT J, LOPEZ M, MOREJON Z, FUENTES V, MORON F, 2005
Clases Tóxicas Agudas tópica de semilla seca de Bixa orellana. Informe TRAMIL. Laboratorio Central de Farmacología, Facultad de Ciencias Médicas “Dr. Salvador Allende”, La Habana, Cuba.

29 Solis PN, Olmedo D, Buitrago de Tello RE, Gupta MP, 2000
Estudio fitoquímico y toxicológico de algunas plantas TRAMIL. Informe TRAMIL. Centro de Investigaciones Farmacognósticas de la Flora Panameña CIFLORPAN, Facultad de Farmacia, Universidad de Panamá, Panamá, Panamá.

30 PAZOS L, COTO T, CAIZA F, 2008
Irritación ocular, en conejos, del jugo de hojas de Bixa orellana. Informe TRAMIL. Laboratorio de Ensayos Biológicos, LEBi, Universidad de Costa Rica, San Pedro, Costa Rica.

31 PAUMGARTTEN FJ, DE-CARVALHO RR, ARAUJO IB, PINTO FM, BORGES OO, SOUZA CA, KURIYAMA SN, 2002
Evaluation of the developmental toxicity of annatto in the rat. Food and Chemical Toxicology 40(11):1595-1601.

32 SILVA DELGADO H, DEL AGUILA A, GODOY PEREZ L, PORTOCARRERO P, 1998
Clinical evaluation of Bixa orellana L. achiote in female volunteers. Phase I Study. Biodiversidad Salud 1(1):38-41.

33 CARBALLO A, 1995
Plantas medicinales del Escambray cubano. Informe TRAMIL. Laboratorio provincial de producción de medicamentos, Sancti Spiritus, Cuba.

(dans les territoires avec usage significatif TRAMIL)

Nicaragua:

  • 'kukus

Dominique:

  • coco-tree
  • coconut tree

Saint-Vincent-et-les-Grenadines:

  • coco-tree
  • coconut tree

Honduras:

  • cocotero

République dominicaine:

  • cocotero

Guatemala:

  • cocotero
Usages significatifs TRAMIL

huile du fruit, cataplasme1

Recommandations Préparation et Posologie Références

Selon l’information disponible :

L’emploi contre l’asthme et “joint pain” (arthrite) est classé REC sur la base de l’usage significatif traditionnel documenté par les enquêtes TRAMIL, les études de validation et de toxicité.

Si l’on observe une détérioration de l’état du patient, ou que les symptômes de l’asthme durent plus de 2 jours ou la crise d’asthme plus d’une heure, consulter un médecin.

Compte tenu du risque de l’asthme pour la santé, consulter un médecin au préalable. L’emploi de ce remède doit être considéré comme complémentaire du traitement médical, sauf contre-indication.

L’emploi contre la grippe et les furoncles est classé REC sur la base de l’usage significatif traditionnel documenté par les enquêtes TRAMIL, les études de toxicité et l’information scientifique publiée.

Si l’on observe une détérioration de l’état du patient, ou que les symptômes de la grippe durent plus de 7 jours, ou les furoncles plus de 5 jours, consulter un médecin.

L’emploi contre les brûlures est classé REC sur la base de l’usage significatif traditionnel documenté par les enquêtes TRAMIL et les études de toxicité.

Limiter son emploi traditionnel à des brûlures superficielles (affection épidermique), peu étendues (moins de 10% de la surface corporelle) et localisées en dehors des zones à haut risque comme le visage, les mains, les pieds et les organes génitaux.

Toute application locale doit se conformer à de strictes mesures d’hygiène pour empêcher la contamination ou une infection supplémentaire.

L’emploi contre l’infection urinaire et les calculs rénaux est classé REC sur la base de l’usage significatif traditionnel documenté par les enquêtes TRAMIL et l’information scientifique publiée.

Si les symptômes urinaires durent plus de 3 jours, ou si l’on observe une détérioration générale de l’état du patient, consulter un médecin.

Compte tenu du risque de l’infection urinaire ou des calculs rénaux pour la santé, consulter un médecin au préalable. L’emploi de ce remède doit être considéré comme complémentaire du traitement médical, sauf contre-indication.

Ne pas employer avec des femmes enceintes ou allaitantes, ni avec des enfants de moins de 5 ans.

Le fruit (graine, mésoderme) et le jus (eau) de Cocos nucifera constituent un aliment de consommation humaine relativement répandue.

Contre l’asthme :
Travail TRAMIL37
Boire 1 cuillerée (5 millilitres) d’huile de coco par jour pendant 15 à 21 jours.

Contre les calculs rénaux ou l’infection des voies urinaires :
Boire 1 tasse (250 millilitres) d'eau de coco frais, 4 à 6 fois par jour37.

Contre la grippe ou “joint pain” (arthrite) :
Appliquer localement l'huile de coco en quantité suffisante pour couvrir la zone, effectuer une friction de la poitrine en cas de grippe ou massage de l’articulation douloureuse (arthrite), 3 à 4 fois par jour.

Contre les “nacíos” (furoncles) ou brûlures :
Laver la lésion avec de l'eau bouillie et du savon, appliquer de l'huile de noix de coco assez pour couvrir la zone affectée 2 fois par jour. Couvrir avec un linge propre ou un pansement et changer toutes les 12 heures.

Contre la diarrhée :
Préparer une décoction avec 30 grammes de fruit frais dans 4 tasses (1 litre) d'eau, faire bouillir pendant 10 minutes dans un récipient couvert. Laissez refroidir, filtrer et boire 4 tasses par jour.
La consommation d’eau de coco est recommandée pour reminéraliser en cas de diarrhée.

Toute préparation médicinale doit être conservée au froid et utilisée dans les 24 heures.

1 GERMOSEN-ROBINEAU L, GERONIMO M, AMPARO C, 1984
Encuesta TRAMIL. enda-caribe, Santo Domingo, Rep. Dominicana.

2 LAGOS-WITTE S, 1988-89, 1996
Encuesta TRAMIL. Laboratorio de Histología Vegetal y Etnobotánica, Departamento de Biología, Universidad Nacional Autónoma de Honduras UNAH, Tegucigalpa, Honduras.

3 AKER CH, GARMENDIA M, DEVES R, FERNANDEZ P, FRITHZ E, HERNANDEZ M, SIMEON A, 2003
Encuesta TRAMIL-GEF Bosawas. Departamento de Biologia, Facultad de Ciencias, Universidad Nacional Autónoma de Nicaragua UNAN-León, León, Nicaragua.

4 CHARLES C, 1988
TRAMIL survey. Movement for Cultural Awareness MCA, Roseau, Dominica.

5 GIRON L, 1988
Encuesta TRAMIL (Costa atlántica). Centro Mesoamericano de Tecnología CEMAT, Guatemala, Guatemala.

6 BALLAND V, GLASGOW A, SPRINGER F, GAYMES G, 2004
TRAMIL survey. enda-caribbean, IICA, UAG & U.PARIS XI, Saint Vincent.

7 MOURA FE JA, BROWN WH, WHITING FM, STULL JW, 1975
Unsaponifiable matter of crude and processed coconut oil. J Sci Food Agr 26(4):523-531.

8 PARIS R, MOYSE H, 1981
Précis de matière médicale. Paris, France: Ed. Maloine.

9 SAITTAGAROON S, KAWAKISHI S, NAMIKI M, 1985
Generation of mannitol from copra meal. J Food Sci 50(3):757-760.

10 TAKEUCHI K, 1961
Amino acids in the endosperm of some Amazonian Palmae. Chiba Daigaku Buurii Gakuba Kiyo Shizen Kagaku 3:321-325.

11 JANSZ BR, JEYARAJ EE, PIERIS N, ABEYRATNE DJ, 1974
Cyanide liberation from linamarin. J Natl Sci Counc Sri Lanka 2:57-65.

12 KINDERLERER JL, KELLARD B, 1987
Alkylpyrazines produced by bacterial spoilage of heat-treated and gamma-irradiated coconut. Chem Ind (London) 16:567-568.

13 MANNAN A, AHMAD K, 1966
Studies on vitamin E in foods of East Pakistan. Pak J Biol Agr Sci 9:13.

14 DUKE JA, ATCHLEY AA, 1986
Handbook of proximate analysis tables of higher plants. Boca Raton, USA: CRC Press. p47.

15 CAMBAR P, ALGER J, 1989
Efectos broncopulmonares del aceite de coco en conejos. Informe TRAMIL. Unidad de Farmacología, Facultad de Ciencias Medicas, Universidad Nacional Autónoma de Honduras UNAH, Tegucigalpa, Honduras.

16 BOUCOURT E, MARTINEZ M J, MOREJON Z, 2010
Evaluación de la actividad antimicrobiana del agua de fruto fresco de Cocos nucifera L. Informe TRAMIL. Laboratorio Central de Farmacología, Facultad de Ciencias Médicas “Dr. Salvador Allende”, C. Habana, Cuba.

17 BOUCOURT E, MARTINEZ M J, MOREJON Z, 2010
Evaluación de la actividad antimicrobiana de la pulpa tierna del fruto fresco de Cocos nucifera L. Informe TRAMIL. Laboratorio Central de Farmacología, Facultad de Ciencias Médicas “Dr. Salvador Allende”, C. Habana, Cuba.

18 OLMEDO D, RODRIGUEZ N, ESPINOSA A, VASQUEZ Y, Gupta MP, 2005
Ensayo antimicrobiano de algunas especies con usos significativos TRAMIL-Centroamérica. Informe TRAMIL. Centro de Investigaciones Farmacognósticas de la Flora Panameña CIFLORPAN, Facultad de Farmacia, Universidad de Panamá, Panamá, Panamá.

19 GarcIa-GONZÁLEZ M, BARBOZA CJ, 2005
Velocidad del tránsito intestinal en ratones, del extracto acuoso del fruto fresco de Cocos nucifera. Informe TRAMIL. PRONAPLAMED. Depto de Fisiología, Escuela de Medicina, Universidad de Costa Rica, San Pedro, Costa Rica.

20 PAZOS L, COTO T, REYES L, 2007
Antiinflamatorio tópico, en ratones, del aceite del fruto de Cocus nucifera. Informe TRAMIL, Laboratorio de Ensayos Biológicos, LEBi, Universidad de Costa Rica, San Pedro, Costa Rica.

21 CACERES A, GIRON LM, ALVARADO SR, TORRES MF, 1987
Screening of antimicrobial activity of plants popularly used in Guatemala for the treatment of dermatomucosal diseases. J Ethnopharmacol 20(3):223-237.

22 VENKATARAMAN S, RAMANUJAN T, VENKATASUBBU V, 1980
Antifungal activity of the alcoholic extract of coconut shell Cocos nucifera L. J Ethnopharmacol 2(3):291-293.

23 JAIN SK, AGRAWAL SC, 1992
Sporostatic effect of some oils against fungi causing otomycosis. Indian J Med Sci 46(1):1-6.

24 CACERES A, GIRON LM, MARTINEZ AM, 1987
Diuretic activity of plants used for the treatments of urinary ailments in Guatemala. J Ethnopharmacol 19(3):233-245.

25 RODRÍGUEZ M, SÁNCHEZ C, 1982
Diuresis del agua de pipa (Cocos nucifera) en ratas. Rev Méd Panamá 7(3):186-19l.

26 KETUSINH O, 1954
Risks associate with intravenous infusion of coconut juice. J Med Ass Thailand 37(5):249-271.

27 MORTON J, 1981
Atlas of medicinal plants of Middle America. Springfield, USA: III: Charles C. Thomas Publisher.

28 BOOTH AN, BICKOFF EM, KOHLER GO, 1960
Estrogen-like activity in vegetable oils and mill by-products. Science 131:1807-1808.

29 GARCIA-GONZÁLEZ M, BARBOZA CJ, 2005
Toxicidad aguda dosis repetida, en ratones, del extracto acuoso del aceite del fruto de Cocos nucifera. Informe TRAMIL. PRONAPLAMED. Depto de Fisiología, Escuela de Medicina, Universidad de Costa Rica, San Pedro, Costa Rica.

30 GARCIA-GONZÁLEZ M, BARBOZA CJ, 2005
Toxicidad aguda (5000 mg/kg) dosis repetida, en ratones, del extracto acuoso (decocción) del fruto fresco de Cocos nucifera. Informe TRAMIL. PRONAPLAMED. Depto de Fisiología, Escuela de Medicina, Universidad de Costa Rica, San Pedro, Costa Rica.

31 PAZOS L, COTO T, GONZALEZ S, 2006
Toxicidad oral subcrónica, dosis repetida, en ratón, de aceite del fruto fresco de Cocus nucifera. Informe TRAMIL. Laboratorio de Ensayos Biológicos, LEBi, Universidad de Costa Rica, San Pedro, Costa Rica.

32 PAZOS L, COTO T, GONZALEZ S, 2006
Irritabilidad dérmica, piel lesionada en conejos, del aceite del fruto puro de Cocus nucifera. Informe TRAMIL. Laboratorio de Ensayos Biológicos, LEBi, Universidad de Costa Rica, San Pedro, Costa Rica.

33 SALERNO JW, SMITH DE, 1991
The use of sesame oil and other vegetable oils in the inhibiting of human colon cancer growth in vitro. Anticancer Res 11(1):209-215.

34 LOCNISKAR M, BELURY MA, CUMBERLAND AG, PATRICK KE, FISCHER SM, 1991
The effect of dietary lipid on skin tumor promotion by benzoyl peroxide, comparison of fish, coconut and corn oil. Carcinogenesis 12(6):1023-1028.

35 BERTON TR, FISCHER SM, CONTI CJ, LOCNISKAR MF, 1996
Comparison of ultraviolet light-induced skin carcinogenesis and ornithine decarboxylase activity in sencar and hairless SKH-1 mice fed a constant level of dietary lipid varying in corn and coconut oil. Nutr Cancer 26(3):353-363.

36 CHINDAVANIG A, 1971
Effect of vegetable oils in plasma cholesterol in man and dog. Master Thesis, Dept. Biochemistry, Mahidol University, Bangkok, Thailand.

37 CARBALLO A, 1995
Cálculo de concentración y dosis de las drogas vegetales TRAMIL: Mensuraciones farmacognósticas y aproximaciones técnico-clínicas. Laboratorio Provincial de Producción de Medicamentos, Sancti Spiritus, Cuba.

(dans les territoires avec usage significatif TRAMIL)

République dominicaine:

  • auyama

Haïti:

  • jiroumou
  • jiwomon
Usages significatifs TRAMIL

feuille, jus, en application locale2

Recommandations Préparation et Posologie Références

Selon l’information disponible :

L’emploi contre l’asthénie, la faiblesse, la jaunisse et les brûlures superficielles est classé REC sur la base de l’usage significatif traditionnel documenté par les enquêtes TRAMIL et les études de toxicité.

Compte tenu du risque que représentent les affections hépatiques pour la santé, on recommande un examen médical préalable. L’emploi de ce remède peut être considéré comme complémentaire du traitement médical, sauf contre-indication. Si l’état du patient se détériore ou l'ictère dure plus de 3 jours, consulter un médecin.

Limiter son usage traditionnel à des brûlures superficielles (lésion de l’épiderme), peu étendues (< 10% de la surface corporelle) et localisées en dehors des zones à haut risque comme le visage, les mains, les pieds et les organes génitaux.

Toute application topique doit se conformer à de strictes mesures d’hygiène pour empêcher la contamination ou une infection surajoutée.

Ne pas employer avec des enfants de moins de 5 ans, ni avec des femmes enceintes ou allaitantes.

Le fruit et la fleur de Cucurbita moschata constituent un aliment de consommation humaine relativement répandue.

Contre l’asthénie et la faiblesse :
Préparer un bouillon avec 30 grammes de feuilles dans 4 tasses (1 litre) d'eau. Boire 3 tasses par jour.

Contre la jaunisse :
Préparer une décoction ou une infusion avec 5-7 grammes de fleurs dans 1 tasse (250 mL) d’eau. Pour la décoction, faire bouillir 5 minutes dans un récipient couvert; pour l’infusion, ajouter l’eau bouillante aux 5 grammes de fleur et couvrir. Laisser refroidir, filtrer et boire 1 tasse 3 fois par jour17.

Contre les brûlures :
Laver la lésion avec de l’eau bouillie et du savon, appliquer le jus de feuille en quantité suffisante sur la zone affectée. Couvrir avec une compresse ou un linge propre et changer 2 fois par jour.

Toute préparation médicinale doit être conservée au froid et utilisée dans les 24 heures.

1 WENIGER B, ROUZIER M, 1986
Enquête TRAMIL. Service Oecuménique d'Entraide SOE, Port au Prince, Haïti.

2 WENIGER B, 1987-88
Encuesta TRAMIL. enda-caribe, Santo Domingo, Rep. Dominicana.

3 HEGNAUER R, 1973
Chemotaxonomy der Pflanzen. Basel, Schweiz: Birkhauser Verlag. 6:882.

4 WASHUTTL J, Reiderer P, Bancher E, 1973
A qualitative and quantitative study of sugar-alcohols in several foods. J Food Sci 38(7):1262-1263.

5 DUKE JA, 2000
Chemicals and their biological activities in: Cucurbita moschata. Dr. Duke’s Phytochemical and Ethnobotanical Databases. USDA-ARS-NGRL, Beltsville Agricultural Research Center, Beltsville, USA, August 10, 2000. www.ars-grin.gov/cgi-bin/duke/farmacy2.pl

6 BANG MH, HAN JT, KIM HY, PARK YD, PARK CH, LEE KR, BAEK NI, 2002
13-Hydroxy-9Z,11E,15E-octadecatrienoic acid from the leaves of Cucurbita moschata. Arch Pharm Res 25(4):438-440.

7 DUKE JA, ATCHLEY AA, 1986
Handbook of proximate analysis tables of higher plants. Boca Raton, USA: CRC Press. p55.

8 USDA
www.nal.usda.gov/fnic/cgi-bin/nut_search.pl?squash

9 HERRERA J, 1992
Determinación de parámetros farmacológicos usados en medicina tradicional popular en la cuenca del Caribe. Informe TRAMIL. Laboratorio de Fitofarmacología, Dep. de Farmacología, Facultad de Salud, Universidad del Valle, Cali, Colombia.

10 PAZOS L, COTO T, CAIZA F, 2008
Antiinflamatorio tópico, en ratones, de la hoja de Curcubita moschata. Informe TRAMIL, Laboratorio de Ensayos Biológicos, LEBi, Universidad de Costa Rica, San Pedro, Costa Rica.

11 VILENCHIK M, 1989
Fundamentos biológicos del envejecimiento y la longevidad. Moscú, URSS: Ed. MIR.

12 HERRERA J, 1990
Determinación de parámetros farmacológicos de vegetales utilizados en medicina tradicional en la cuenca del Caribe. Informe TRAMIL. Laboratorio de Fitofarmacología, Dep. de Farmacología, Facultad de Salud, Universidad del Valle, Cali, Colombia.

13 WENIGER B, 1992
Cytotoxicité, effets immunodulateurs et morphologique des extraits éthanolique 80% et aqueux de feuille de Cucurbita. Rapport TRAMIL. Faculté de Pharmacie, Université de Strasbourg, Illkirch, France.

14 HURTADO M, CARBALLO A, 1990
Las plantas medicinales TRAMIL en la farmacopea Soviética. Centro de Investigaciones de Fitoterapia y Medicina Tradicional, Topes de Collantes, Cuba.

15 PARIS R, MOYSE H, 1981
Précis de matière médicale. Paris, France: Ed. Maloine.

16 CHEN ZK, PU TC, LI DY, JIANG HA, 1980
Therapeutic effect of cucurbitine on dog taeniasis. Zhongguo Yao Li Xue Bao 1(2):124-126.

17 ALBORNOZ A, 1993
Medicina tradicional herbaria. Guía de Fitoterapia. Caracas, Venezuela: Editorial Instituto Farmacoterápico Latino S.A. p226.

Usages significatifs TRAMIL

tubercule, naturel, en application locale1

Recommandations Préparation et Posologie Références

Selon l’information disponible :

L’emploi contre les brûlures superficielles est classé REC basé sur l’usage significatif traditionnel documenté par les enquêtes TRAMIL et l’information scientifique publiée.

En cas de détérioration du patient ou si les symptômes de la brûlure persistent pendant plus de 7 jours, consulter un médecin.

Limiter l’emploi traditionnel à des brûlures superficielles (lésion épidermique) peu étendues (moins de 10% de la surface corporelle) et localisées en dehors des zones à haut risque telles que le visage, les mains, les pieds et les parties génitales. Employer la préparation exclusivement en application locale.

Toute application topique doit obéir à de strictes mesures d’hygiène pour empêcher la contamination ou une infection surajoutée.

Ne pas administrer pendant la grossesse, en période d’allaitement ni à des enfants de moins de 8 ans.

Le tubercule d’Ipomoea batatas constitue un aliment de consommation humaine relativement étendue.

Contre les brûlures superficielles :
Laver et peler la patate douce crue, appliquer la pelure du côté de l’amidon en cataplasme sur la zone affectée. Couvrir avec une compresse ou un linge propre et changer toutes les 12 heures.

Toute préparation médicinale doit être conservée au froid et utilisée dans les 24 heures.

1 GERMOSEN-ROBINEAU L, GERONIMO M, AMPARO C, 1984
Encuesta TRAMIL. enda-caribe, Santo Domingo, Rep. Dominicana.

2 NAKATANI M, KOMEICHI M, 1991
Distribution of endogenous zeatin riboside and abscisic acid in tuberous roots of sweet potato. Nippon Sakumotsu Gakkai Kiji 60(2):322-323.

3 NAKATANI M, KOMEICHI M, 1991
Chantes in the endogenous level of zeatin riboside, abscisic acid and indole acetic acid during formation and thickening of tuberous roots in sweet potato. Nippon Sakumotsu Gakkai Kiji 60(1):91-100.

4 BURKA L, FELICE L, JACKSON S, 1981
6-oxodendrolasin, 6-hydroxydendrolasin, 9-oxofarnesol and 9-hedroxyfarnesol, stress metabolites of the sweet potato. Phytochemistry 20:647-652.

5 WOOD G, HUANG A, 1975
The detection and quantitative determination of ipomeamarone in damaged sweet potatoes (Ipomoea batatas). J Agr Food Chem 23(2):239-241.

6 BURKA L, KUHNERT L, 1977
Biosynthesis of furanosesquiterpenoid stress metabolites in sweet potatoes (Ipomoea batatas) oxidation of ipomeamarone to 4-hydroxymyoporone. Phytochemistry 16(12):2022-2023.

7 BURKA L, KUHNERT L, WILSON B, HARRIS T, 1974
4-hydroxymyoporone, a key intermediate in the biosynthesis of pulmonary toxins produced by Fusarium solani infected sweet potatoes. Tetrahedron Lett 15(46):4017-4020.

8 MINAMIKAWA T, AKAZAWA T, URITANI I, 1962
Isolation of esculetin from sweet potato roots with black rot. Nature(London) 195:726-727.

9 SONDHEIMER E, 1958
On the distribution of caffeic acid and the chlorogenic acid isomers in plants. Arch Biochem Biophy 74(1):131-138.

10 MIYAZAKI T, TSUZUKI W, SUZUKI T, 1991
Composition and structure of anthocyanins in the periderm and flesh of sweet potatoes. Engei Gakkai Zasshi 60(1):217-224.

11 OSAGIE AU, 1977
Phytosterols in some tropical tubers. J Agr Food Chem 25(5):1222-1223.

12 MATLACK MB, 1935
A phytosterol and phytosterolin from the sweet potato. Science 81:536.

13 DE ALMEIDA LB, PENTEADO M, BRITTON G, UEBELHART P, ACEMOGLU M, EUGSTER C, 1988
Isolation and absolute configuration of beta, beta-carotene diepoxide. Helv Chim Acta 71(1):31-32.

14 DE ALMEIDA LB, PENTEADO M, SIMPSON K, BRITTON G, ACEMOGLU M, EUGSTER C, 1986
Isolation and characterisation of (5R,6S,5'R,8'R)-and (5R,6S,5'R,8'S)-luteochrome from Brazilian sweet potatoes (Ipomoea batatas Lam.). Helv Chim Acta 69(7):1554-1558.

15 HASHIZUME T, SUYE S, SOEDA T, SUGIYAMA T, 1982
Isolation and characterization of a new glucopyranosyl derivative of 6-(3-methyl-2-butenylamino) purine from sweet potato tubers. Febs Lett 144(1):25-28.

16 HASHIZUME T, SUYE S, SUGIYAMA T, 1981
Occurrence and level of cis-zeatin riboside in sweet potato tubers (Ipomoea batatas L). Nucleic Acids Symp Ser 10:131-134.

17 OHTA T, OMORI T, SHIMOJO H, HASHIMOTO K, SAMUTA T, OHBA T, 1991
Identification of monoterpene alcohol beta-glucosides in sweet potatoes and purification of a shiro-koji beta-glucosidase. Agr Biol Chem 55(7):1811-1816.

18 KOLATTUKUDY P, KRONMAN K, POULOSE A, 1975
Determination of structure and composition of suberin from the roots of carrot, parsnip, rutabaga, turnip, red beet and sweet potato by combined gas-liquid chromatography and mass spectr. Plant Physiol 55(3):567-573.

19 DOWNTON WJ, HAWKER JS, 1975
Evidence for lipid-enzyme interaction in starch synthesis in chilling-sensitive plants. Phytochemistry 14:1259-1263.

20 LE GRAND A, 1985
Les phytothérapies anti-infectieuses (partie 3 : Une Evaluation) Amsterdam, Pays-Bas.

21 WALKER BS, JANNEY JC, 1930
Estrogenic substances. II. An analysis of plant sources. Endocrinology 14(6):389-392.

22 MIWA M, KONG Z, SHINOHARA K, WATANABE M, 1990
Macropohage stimulating activity of foods. Agr Biol Chem 54(7):1863-1866.

23 TANAKA Y, KATAOKA M, KONISHI Y, NISHMUNE T, TAKAGAKI Y, 1992
Effects of vegetable foods on beta-hexosaminidase release from rat basophilic leukemia cells (RBL-2H3). Jpn J Toxicol Environ Health 38(5):418-424.

24 VANDANA PANDA V, SONKAMBLE M, PATIL S, 2011
Wound healing activity of Ipomoea batatas tubers (sweet potato). Functional Foods in Health and Disease 10:403-415.

25 AGUILAR CONTRERAS A, ZOLLA C, 1982
Plantas Tóxicas de México. División de información etnobotánica. Ciudad, México: Unidad de investigación biomédica en medicina tradicional y herbolaria del Instituto Mexicano del seguro social. p118-120.

26 ORTALIZA IC, DEL ROSARIO IF, CAEDO MM, ALCARAZ AP, 1969
The availability of carotene in some Philippine vegetables. Philippine J Sci 98(2):123-131.

(dans les territoires avec usage significatif TRAMIL)

Haïti:

  • medsiyen

République dominicaine:

  • piñón, piñón botija
Usages significatifs TRAMIL

sève, en application locale1

Recommandations Préparation et Posologie Références

Selon l’information disponible :

L’emploi contre la candidose buccale, démangeaison, plaie et brûlure superficielle est classé REC sur la base de l’usage significatif traditionnel documenté par les enquêtes TRAMIL, les études de toxicité et l’information scientifique publiée.

Si l’état du patient se détériore ou que la candidose, la plaie, brûlure, démangeaison persiste plus de 5 jours, ou 3 jours chez l’enfant, consulter un médecin.

Limiter l’emploi traditionnel à des brûlures superficielles (endommagement épidermique) peu étendues (moins de 10% de la surface corporelle) et localisées en dehors des zones à haut risque telles que la figure, les mains, les pieds et les parties génitales.

Ne pas employer avec des enfants de moins de 10 ans, ni avec des femmes enceintes ou allaitantes.

Eviter l’ingestion de la graine à cause du risque de toxicité. En cas d’intoxication par ingestion, consulter un médecin.

Contre la candidose buccale, plaie ou brûlure superficielle :
Casser la base de la feuille au niveau de son attache à la tiges et laisser suinmter le latex. Appliquer 2-4 gouttes du latex directement sur la zone affectée 2-4 fois par jour.

Contre la démangeaison :
Préparer une décoction avec 30 grammes de feuilles fraîches avec ou sans tige dans 4 tasses (1 litre) d’eau, bouillir pendant 5 minutes dans un récipient couvert. Baigner la zone affectée 2 ou 3 fois par jour.

Toute préparation médicinale doit être conservée au froid et utilisée dans les 24 heures.

1 WENIGER B, ROUZIER M, 1986
Enquête TRAMIL. Service Oecuménique d'Entraide SOE, Port au Prince, Haïti.

2 WENIGER B, 1987-88
Encuesta TRAMIL. enda-caribe, Santo Domingo, Rep. Dominicana.

3 LAGOS-WITTE S, 1988-89, 1996
Encuesta TRAMIL. Laboratorio de Histología Vegetal y Etnobotánica, Dep. de Biología, Universidad Nacional Autónoma de Honduras UNAH, Tegucigalpa, Honduras.

4 CASTILLO D, RODRIGUEZ S, DE LOS SANTOS C, BELEN A, 2003
Encuesta TRAMIL, Zambrana, Cotui. Dep. de Botánica, Jardín Botánico Nacional, Santo Domingo, Rep. Dominicana.

5 GIRON L, 1988
Encuesta TRAMIL (Costa atlántica). Centro Mesoamericano de Tecnología CEMAT, Guatemala, Guatemala.

6 WENIGER B, SAVARY H, DAGUIHL R, 1984
Tri phytochimique de plantes de la liste TRAMIL. Laboratoire de chimie des substances naturelles, Faculté de Médecine et de Pharmacie, Université d'Etat d'Haïti, Port au Prince, Haïti.

7 VAN DEN BERG A, HOARSTEN S, KETTENES-VAN-DEN BOSCH J, KROES B, BEUKELMAN C, LEEFLANG B, LABADIE R, 1995
Curcacycline A - a novel cyclic octapeptide isolated from the latex of Jatropha curcas L. Febs Lett 358(3):215-218.

8 NATH LK, DUTTA SK, 1991
Extraction and purification of curcain, a protease from the latex of Jatropha curcas Linn. J Pharm Pharmacol 43(2):111-114.

9 HEGNAUER R, 1973
Chemotaxonomy der Pflanzen. Basel & Stuttgart: Birkhauser Verlag. 6:882.

10 SUBRAMANIAN SS, NAGARAJAN S, SULOCHANA N, 1971
Flavonoids from some Euphorbiaceous plants. Phytochemistry 10:2548-2549.

11 HUFFORDCD, OGUNTIMEIN BO, 1978
Non-polar constituents of Jatropha curcas. Lloydia 41(2):161-165.

12 HUSSAIN H, DEENI Y, 1991
Plants in Kano ethomedicine; screening for antimicrobial activity and alkaloids. Int J Pharmacog 29(1):51-56.

13 LE GRAND A, WONDERGEM PA, 1986
Activités antimicrobiennes et études bibliographiques de la toxicologie de dix plantes médicinales de la Caraïbe. Rapport TRAMIL. Dép. de Pharmacognosie, Universités de Groningen & Leyden, Pays-Bas.

14 SOLIS PN, RODRIGUEZ N, ESPINOSA A, GUPTA MP, 2004
Estudio antimicrobiano de algunas plantas TRAMIL con usos en Martinica. Informe TRAMIL. Centro de Investigaciones Farmacognósticas de la Flora Panameña CIFLORPAN, Facultad de Farmacia, Universidad de Panamá, Panamá, Panamá.

15 OLMEDO D, RODRIGUEZ N, ESPINOSA A, VASQUEZ Y, GUPTA MP, 2005
Ensayo antimicrobiano de algunas especies con usos significativos TRAMIL-Centroamérica. Informe TRAMIL. Centro de Investigaciones Farmacognósticas de la Flora Panameña CIFLORPAN, Facultad de Farmacia, Universidad de Panamá, Panamá, Panamá.

16 GARCIA-GONZALEZ M, FERNANDEZ A. ARGUEDAS R, MONTERO S, 2005
Efecto antiinflamatorio en ratones, en aplicación tópica, del extracto acuoso (decocción) de las hojas frescas de Jatropha curcas dosis única. Informe TRAMIL. PRONAPLAMED. Depto de Fisiología, Escuela de Medicina, Universidad de Costa Rica, San Pedro, Costa Rica.

17 THOMASO O, 1989
Re-examination of the antimicrobial activities of Xylopia aethiopica, Carica papaya, Ocimun gratissimum and Jatropha curcas. Fitoterapia 60(2):147-155.

18 MARROQUIN E, Blanco JA, GRANADO S, CACERES A, MORALES C, 1997
Clinical Trial of Jatropha curcas sap in the treatment of common warts. Fitoterapia 68(2):160-162.

19 HERRERA J, 1990
Determinación de actividades biológicas de vegetales utilizados en medicina tradicional. Informe TRAMIL. Laboratorio de fitofarmacología, Dep. de Farmacología, Facultad de Salud, Universidad del Valle, Cali, Colombia.

20 LOPEZ M, MOREJON Z, BACALLAO Y, FUENTES V, MORON F, 2009
Irritabilidad dérmica primaria de hoja fresca de Jatropha curcas L. Informe TRAMIL. Facultad de Ciencias Médicas “Dr. Salvador Allende”, Laboratorio Central de Farmacología, C. Habana, Cuba.

21 WEE Y, GOPALAKRISHNAKONE P, CHAN A, 1988
Poisonous plants in Singapore - a colour chart for identification with symptoms and signs of poisoning. Toxicon 26(1):47.

(dans les territoires avec usage significatif TRAMIL)

Haïti:

  • tomat

Guatemala:

  • tomate

République dominicaine:

  • tomate
Usages significatifs TRAMIL

feuille fraîche, écrasée, cataplasme3

Recommandations Préparation et Posologie Références

Selon l’information disponible :

L’emploi contre la candidose buccale est classé REC basé sur l’usage significatif traditionnel documenté dans les enquêtes TRAMIL, les études de toxicité et l’information scientifique disponible.

L’emploi contre les brûlures (superficielles) est classé REC basé sur l’usage significatif traditionnel documenté dans les enquêtes TRAMIL et les études de toxicité.

Limiter son usage traditionnel aux brûlures superficielles (lésion épidermique), peu étendues (moins de 10% de la surface corporelle) et ne concernant pas les zones à haut risque comme le visage, les mains, les pieds et les parties génitales.

Toute application locale doit se conformer à de strictes mesures d’hygiène pour éviter une contamination ou une infection supplémentaire.

S’assurer que la feuille a été correctement lavée et nettoyée, et que ses pilosités externes ont été éliminées, car elles peuvent causer une irritation de la peau et des muqueuses, ainsi qu’une réaction d’hypersensibilité.

Ne pas administrer pendant la grossesse, en période d’allaitement ni à des enfants de moins de 8 ans.

Le fruit mûr de Lycopersicon esculentum constitue un aliment de consommation humaine répandue.

Contre la candidose buccale :
Laver soigneusement 5 grammes de feuilles, les froisser et appliquer directement sur la partie affectée 4 fois par jour.

Contre les brûlures :
Laver la lésion à l’eau bouillie et au savon, appliquer 8-10 grammes de feuille, préalablement lavée et froissée, sur la zone affectée. Recouvrir d’une compresse ou d’un linge propre et changer toutes les 12 heures.

Toute préparation médicinale doit être conservée au froid et utilisée dans les 24 heures.

1 WENIGER B, ROUZIER M, 1986
Enquête TRAMIL. Service Oecuménique d'Entraide SOE, Port au Prince, Haïti.

2 WENIGER B, 1987-88
Encuesta TRAMIL. enda-caribe, Santo Domingo, Rep. Dominicana.

3 GIRON L, 1988
Encuesta TRAMIL (Costa atlántica). Centro Mesoamericano de Tecnología CEMAT, Guatemala, Guatemala.

4 HOSTETTMANN K, LEA PJ, 1996
Biologically active natural products. Annual proceedings of the phytochemical society of Europe. Oxford, England: Oxford University Press.

5 CATALDI TR, LELARIO F, BUFO SA, 2005
Analysis of tomato glycoalkaloids by liquid chromatography coupled with electrospray ionization tandem mass spectrometry. Rapid Commun Mass Spectrom 19(21):3103-3110.

6 SCHREIBER K, AURICH O, 1966
Isolation of several alkaloids and 3-beta-hydroxy-5-alpha-pregn-16-en-20-one from Lycopersicon pimpinellifolium Mill. Phytochemistry 5:707-712.

7 YAHARA S, UDA N, NOHARA T, 1996
Lycoperosides A-C, three stereoisomeric 23-acetoxyspirosolan-3-beta-ol beta-lycotetraosides from Lycopersicon esculentum. Phytochemistry 42(1):169-172.

8 DENG C, ZHANG X, ZHU W, QIAN J, 2004
Gas chromatography-mass spectrometry with solid-phase microextraction method for determination of methyl salicylate and other volatile compounds in leaves of Lycopersicon esculentum. Anal Bioanal Chem 378(2):518-522.

9 ANTONIOUS GF, 2001
Production and quantification of methyl ketones in wild tomato accessions. J Environ Sci Health B 36(6):835-848.

10 DUKE JA, ATCHLEY AA, 1986
Handbook of proximate analysis tables of higher plants. Boca Raton, USA: CRC Press. p102.

11 BOUCOURT E, MARTINEZ M J, MOREJON Z, 2010
Evaluación de la actividad antimicrobiana del extracto acuoso de las hojas frescas de Lycopersicum esculentum Mill. Informe TRAMIL. Laboratorio Central de Farmacología, Facultad de Ciencias Médicas “Dr. Salvador Allende”, C. Habana, Cuba.

12 ANON, 1987
Pharmaceutical and cosmetic compositions containing tomato plant extracts for the treatment of skin diseases. Patent-Israëli 78,820.

13 CAVALIN G, 1983
Tomate et tomatine (Thèse Doctorat Pharmacie). Toulouse, France.

14 PAZOS L, COTO T, 2011
Irritación dérmica, piel lesionada y piel sana, porción de hojas frescas de Lycopersicon esculentum. Informe TRAMIL. Laboratorio de Ensayos Biológicos, LEBi, Universidad de Costa Rica, San Pedro, Costa Rica.

15 ASWAL B, BHAKUNI D, GOEL A, KAR K, MAHROTRA B, MUKHERJEE K, 1984
Screening of Indian plants for biological activity: Part X. Indian J Exp Biol 22(6):312-332.

16 DUKE JA, 1988
Handbook of medicinal herbs. Boca Raton, USA: CRC Press.

17 CONTRERAS A, ZOLLA C, 1982
Plantas tóxicas de México. México, México: Instituto Mexicano del Seguro Social.

(dans les territoires avec usage significatif TRAMIL)

Haïti:

  • bambou-bananier
  • ben olifère
  • benzoliv
  • graines benné
Usages significatifs TRAMIL

  graine, huile, en application locale1

Recommandations Préparation et Posologie Références

Selon l’information disponible :

L’emploi contre les brûlures est classé REC sur la base de l’usage significatif traditionnel documenté par les enquêtes TRAMIL et les études de toxicité.

Limiter l’usage traditionnel à des brûlures superficielles (lésion épidermique), peu étendues (moins de 10% de la surface corporelle) et localisées en dehors de zones à haut risque telles que le visage, les mains, les pieds et les organes génitaux.

Toute application locale doit se conformer à de strictes mesures d’hygiène pour empêcher la contamination ou une infection supplémentaire.

Ne pas administrer pendant la grossesse, en période d'allaitement ni à des enfants de moins de 5 ans.

La graine de Moringa pterygosperma constitue un aliment de consommation humaine relativement répandue.

Contre les brûlures :
Laver la lésion à l’eau bouillie et au savon. Appliquer l’huile de graine, extraite à froid, sur la zone affectée; recouvrir d’une compresse ou d’un linge propre et changer 2 fois par jour.

Toute préparation médicinale doit être conservée au froid et utilisée dans les 24 heures.

1 WENIGER B, ROUZIER M, 1986
Enquête TRAMIL. Service Oecuménique d'Entraide SOE, Port au Prince, Haïti.

2 CARBALLO A, 1995
Cálculo de concentración y dosis de las drogas vegetales TRAMIL: Mensuraciones farmacognósticas y aproximaciones técnico-clínicas. Laboratorio provincial de producción de medicamentos, Sancti Spiritus, Cuba.

3 DELAVEAU P, BOTTEAU P, 1980
Huiles à intérêt pharmacologique, cosmétologique et diététique. IV.- Huiles de Moringa oleifera. Plantes Médicinales and Phytothérapie 14(1):29-33.

4 KHAN FW, GUL P, MALIK MN, 1975
Chemical composition of oil from Moringa oleifera. Pak J For 25(2):100-102.

5 VILLASENOR IM, FINCH P, LIM-SYLIANCO CY, DAYRIT F, 1989
Structure of a mutagen from roasted seeds of Moringa oleifera. Carcinogenesis 10(6):1085-1087.

6 VILLASENOR IM, Lim-Sylianco CY, Dayrit F, 1989
Mutagens from roasted seeds of Moringa oleifera. Mutat Res 224(2):209-212.

7 GUEVARA AP, VARGAS C, SAKURAI H, FUJIWARA Y, HASHIMOTO K, MAOKA T, KOZUKA M, ITO Y, TOKUDA H, NISHINO H, 1999
An antitumor promoter from Moringa oleifera Lam. Mutat Res 440(2):181-188.

8 VILLASENOR IM, DAYRIT FM, LIM-SYLIANCO CY, 1990
Studies on Moringa oleifera seeds. II. Thermal degradation of roasted seeds. Philippine J Sci 119(1):33-39.

9 BADGETT BL, 1964
Part one: The mustard oil glucoside from Moringa oleifera, seed. Part two: Ascorbic acid analogs with deoxy side chains. Ph.D. thesis. Rice University, Houston, Texas, USA.

10 EILERT U, WOLTERS B, NAHRSTEDT A, 1981
Antibiotic principle of seeds of Moringa oleifera and Moringa stenopetala. Planta Med 42(1):55-61.

11 DAYRIT FM, ALCANTAR AD, VILLASENOR IM, 1990
Studies on Moringa oleifera seeds. Part I. The antibiotic compound and its deactivation in aqueous solution. Philippine J Sci 119(1):23-32.

12 CACERES A, LOPEZ S, 1991
Pharmacological properties of Moringa oleifera. 3: Effect of seed extracts in the treatment of experimental pyodermia. Fitoterapia 62(5):449-450.

13 CACERES A, LOPEZ S, 1992
Informe TRAMIL sobre Moringa pterygosperma. Facultad de Ciencias Químicas y Farmacia, Universidad de San Carlos USAC, Guatemala, Guatemala.

14 CACERES A, SARAVIA A, RIZZO S, ZABALA L, DE LEON E, NAVE F, 1992
Pharmacologic properties of Moringa oleifera. 2: Screening for antispasmodic, antiinflammatory and diuretic activity. J Ethnopharmacol 36(3):233-237.

15 AL AZARIA JAHN S, 1981
Traditional water purification in tropical developing countries. Existing methods and potential application. Eschborn, Germany: Ed GTZ.

16 KERHARO J, 1969
Un remède populaire sénégalais : le "nebreday"(Moringa oleifera Lam). Plantes médicinales et phytothérapie 3:214-219.

17 RAGHUNANDANA R, GEORGE M, 1949
Investigation of plant antibiotics. III. Pterygospermin: The antibacterial principle of Moringa pterygosperma Gaernt. Indian J Med Res 37:159-167.

18 DAS B, KURUP P, NARASIMHA R, 1957
Antibiotic principle of Moringa pterygosperma VII: Antibacterial activity and chemical structure of components related to pterygospermin. Indian J Med Res 45:195-196.

19 KURUP PA, NARASIMIHA RAO PL, 1954
Antibiotic principle from Moringa pterygosperma IV: Effect of addition of vitamins and aminoacids on the antibacterial activity of pterygospermin. Indian J Med Res 42:101-107.

20 LOPEZ M, BOULOGNE I, BACALLAO Y, BRITO G, ACOSTA L, CABRERA H, Moron F, 2012
Recherche d’irritabilité topique sur peau saine et abîmée (selon les méthodes OECD etEPA Acute dermal irritation) de huile et de l’émulsion huileuse de la graine de Moringa oleifera Lam.. Travail TRAMIL. Laboratorio Central de Farmacología, Facultad de Ciencias Médicas “Dr. Salvador Allende”, La Habana, Cuba.

21 WENIGER B, 1992
Activités biologiques (cytotoxicité, effet sur la croissance, effet inmunomodulateur) de drogues végétales de la Caraïbe utilisées par voie locale contre les brûlures, dans des systèmes de cellules animales et humaines en culture. Rapport TRAMIL. Faculté de Pharmacie, Université de Strasbourg, Illkirch, France.

22 BERGER MR, HABS M, JAHN SA, SCHMAHL D, 1984
Toxicological assessment of seeds from Moringa oleifera and Moringa stenopetala, two highly efficient primary coagulants for domestic water treatment of tropical raw waters. East Afr Med J 61(9):712-716.

23 GRABOW W, SLABBERT JL, MORGAN WSG, JAHN SAA, 1985
Toxicity and mutagenicity evaluation of water coagulated with Moringa oleifera seed preparations using fish, protozoa, bacterial, coliphage, enzyme and Ames Salmonella assays. Water SA (Pretoria) 11(1):9-14.

24 INGEL TH, BHIDE BV, 1951
Chemical Investigation of the gum from the drumstick plant Moringa oleifera. Curr Sci 20:107-108.

25 OLIVER-BEVER B, 1986
Medicinal plants in tropical West Africa. London, England: Cambridge University Press.

(dans les territoires avec usage significatif TRAMIL)

Guadeloupe:

  • carapate
  • karapat
  • karapat blanc

Barbade:

  • castor oil

Sainte-Lucie:

  • cawapat

Dominique:

  • cawapat

République dominicaine:

  • higuera

Haïti:

  • maskèti

Martinique:

  • palma Kristi
  • ricin
Usages significatifs TRAMIL

huile de la graine, application locale1

Recommandations Préparation et Posologie Références

Selon l’information disponible :

L’emploi de l’huile de la graine pour affection ganglionnaire, brûlure, rhumatisme, entorse ou traumatisme, est classé REC sur la base de l’usage significatif traditionnel documenté par les enquêtes TRAMIL, les études de toxicité et l’information scientifique publiée.

Si l’état du malade se détériore, ou que l’affection ganglionnaire, brûlure, rhumatisme, entorse ou traumatisme dure plus de 7 jours, consulter un médecin.

Toute application topique doit se confirmer à de strictes mesures d’hygiène, pour empêcher la contamination ou une infection supplémentaire.

Limiter son usage traditionnel à des brûlures superficielles (lésion épidermique), peu étendues (moins de 10% de la surface corporelle), et localisées en dehors de zones à haut risque telles que le visage, les mains, les pieds et les parties génitales.

L’emploi contre le mal de tête, le mal de dent, de l’huile de la graine pour la pneumopathie, l’asthme, de la feuille pour les brûlures et les rhumatismes, est classé REC sur la base de l’usage significatif traditionnel documenté par les enquêtes TRAMIL et les études de toxicité.

L’emploi de l’huile de la graine par voie orale contre la constipation, pneumopathie, asthme et parasites intestinaux, est classé REC sur la base de l’usage significatif traditionnel documenté par les enquêtes TRAMIL et l’information scientifique publiée.

En cas d’emploi de l'huile de graine par voie orale, n’employer qu’à dose unique.

La pneumopathie, l’asthme et les affections ganglionnaires représentant un risque pour la santé, consulter un médecin au préalable. L’emploi de ce remède peut être considéré comme un complément du traitement médical, sauf contre-indication.

La graine peut produire des réactions d’hypersensibilité.

Employer l’huile obtenue de manière artisanale, suivant les procédés traditionnels, ou celle acquise en pharmacie ou dans un dispensaire autorisé. En effet, l’huile de ricin produite industriellement à des fins non médicales peut ne pas avoir été soumise à la détoxification de l’albumine à la vapeur, il s’agit donc d’un produit hautement toxique dont l’ingestion peut rapidement entraîner la mort.

Ne pas utiliser chez la femme enceinte ou allaitante, ni chez les enfants en dessous de 12 ans.

Contre la constipation :

Prendre l’huile de la graine (acquise en pharmacie ou dans un établissement de santé autorisé) à raison de 1 à 3 cuillerées (15-45 millilitres) pour un adulte, de 1 à 3 petites cuillerées (5-15 mL) pour un enfant de plus de 2 ans et de 1 à 5 millilitres pour un enfant de moins de 2 ans. Administrer en une seule prise par voie orale et à jeun. Accompagner éventuellement de lait, de thé, ou de jus de fruit38.

Contre brûlure, pneumopathie et l'asthme, affection ganglionnaire, mal de tête, rhumatisme, entorse ou traumatisme :
Lavez la lésion avec de l'eau bouillie et du savon en particulier en cas de brûlure, appliquer l'huile sur la zone affectée, 2 à 5 centimètres cube avec un linge propre ou un pansement en cas de brûlure et en quantité suffisante pour frictionner (en cas de pneumopathie ou d'asthme) ou enfin pour de petits mouvements de massage circulaire dans les autres cas.

Egalement en cas de brûlure, mal de tête, rhumatisme, entorse ou traumatisme, on peut prendre 30 grammes de feuilles fraîches ou séchées, chauffées ou écrasées selon les cas, appliquer sur la zone affectée, couvrir avec un linge propre et renouveler 2 à 3 fois par jour.

Contre le mal de dents :
Préparer une décoction avec 30 grammes de feuilles dans 4 tasses (1 litre) d'eau, faire bouillir pendant 5 minutes dans un récipient ouvert. Laisser refroidir, filtrer et faire un bain de bouche 3 fois par jour, en prenant soin de ne pas ingérer.

Toute préparation médicinale doit être conservée au froid et utilisée dans les 24 heures.

1 WENIGER B, ROUZIER M, 1986
Enquête TRAMIL. Service Oecuménique d'Entraide SOE, Port au Prince, Haïti.

2 JEAN-PIERRE L, 1988
TRAMIL survey. St Lucia national herbarium, Castries, St Lucia.

3 EDOUARD JA, 1992
Enquête TRAMIL. Lycée agricole, Baie-Mahault, Guadeloupe.

4 FAUJOUR A, MURREY D, CHELTENHAM-CORBIN B, CARRINGTON S, 2003
TRAMIL survey. enda-caribbean, IICA & UAG, Saint Thomas, Barbados.

5 BALZ E, BOYER A, BURAUD M, 2007
Enquête TRAMIL à Marie-Galante. U. Bordeaux 3, U. Paris XI Chatenay-Malabry, UAG, Guadeloupe.

6 GERMOSEN-ROBINEAU L, GERONIMO M, AMPARO C, 1984
Encuesta TRAMIL. enda-caribe, Santo Domingo, Rep. Dominicana.

7 CHARLES C, 1988
TRAMIL survey. Movement for Cultural Awareness MCA, Roseau, Dominica.

8 BOULOGNE I, 2008
Enquête TRAMIL à Terre-de-Haut, Les Saintes, UAG, Guadeloupe (FWI).

9 WENIGER B, 1987-88
Encuesta TRAMIL. enda-caribe, Santo Domingo, Rep. Dominicana.

10 BOYER A, BURAUD M, 2007
Enquête TRAMIL à La Désirade. U. Paris XI Chatenay-Malabry, UAG, Guadeloupe.

11 LONGUEFOSSE JL, NOSSIN E, 1990-95
Enquête TRAMIL. Association pour la valorisation des plantes médicinales de la Caraïbe AVPMC, Fort de France, Martinique.

12 HEGNAUER R, 1973
Chemotaxonomy der Pflanzen. Basel, Schweiz: Birkhauser Verlag.

13 CHONKEL A, 1985
A propos de quelques graines toxiques existant à la Guadeloupe. Thèse Pharmacie, Montpellier, France.

14 DUKE JA, 1992
Handbook of phytochemical constituents of GRAS herbs and other economic plants. Boca Raton, USA: CRC Press.

15 DUKE JA, ATCHLEY AA, 1986
Handbook of proximate analysis tables of higher plants. Boca Raton, USA: CRC Press. p140.

16 DE SOUSA M, Matos ME, Matos FJ, MACHADO MI, CRAVEIRO AA, 1991
Constituintes químicos ativos de plantas medicinais Brasileiras. Laboratorio de produtos naturais, Fortaleza, Brasil: Ceará Edições UFC.

17 TSUPRIENKOVA T, 1982
Patente de autor de champú para el lavado del cabello (título original en ruso). URSS, A61K 7/06(53).

18 WENIGER B, 1992
Activités biologiques (cytotoxicité, effet sur la croissance, effet immunomodulateur) de drogues végétales de la Caraïbe utilisées par voie locale contre les brûlures, dans des systèmes de cellules animales et humaines en culture. Faculté de Pharmacie, Université de Strasbourg, Illkirch, France.

19 FRIAS AI, CABRERA H, GARCIA N, MORON F, VICTORIA MC, GERMOSEN-ROBINEAU, 2011
Efecto antiinflamatorio tópico del aceite de semilla de Ricinus communis (aceite de ricino) en el edema de la oreja inducido por aceite de Croton en ratones. Trabajo TRAMIL. Laboratorio Central de Farmacología. Universidad de Ciencias Médicas de La Habana, Cuba.

20 VERPOORTE R, DIHAL PP, 1987
Medicinal plants of Surinam IV. Antimicrobial activity of some medicinal plants. J Etnopharmacol 21(3):315-318.

21 MISAS CA, HERNANDEZ NM, ABRAHAM AM, 1979
Contribution to the biological evaluation of Cuban plants. I. Rev Cub Med Trop 31:5-12.

22 TANIRA MO, AGEEL AM, AL-SAID MS, 1989
A study on some Saudi medicinal plants used as diuretics in traditional medicine. Fitoterapia 60(5):443-447.

23 CECIL, RUSELL LA FAYETTE, 1987
Compendio de Medicina Interna. Madrid, España: Ed. Interamericana.

24 MARTINEZ MJ, LOPEZ M, MOREJON Z, BOUCOURT E, FUENTES V, MORON F, 2005
Irritabilidad dérmica primaria de semillas frescas peladas y machacadas de Ricinus communis L. Informe TRAMIL. Laboratorio Central de Farmacología, Facultad de Ciencias Médicas “Dr. Salvador Allende”, La Habana, Cuba.

25 MARTINEZ MJ, MOREJON Z, BOUCOURT E, FUENTES V, MORON F, 2003
Irritabilidad dérmica primaria de hoja seca y de hoja fresca de Ricinus communis L. Informe TRAMIL. Laboratorio Central de Farmacología, Facultad de Medicina “Dr. Salvador Allende”, La Habana, Cuba.

26 ROCHA E SILVA M, 1943
Studies on poisonous plants in the state of Sao Paulo. Toxicological expts on 27 plants which have been suspected of toxicity. Arq Inst Biol (Sao Paulo) 14:15.

27 CANELLA CFC, TOKARNIA CH, DOBEREINER J, 1966
Experiments with plants supposedly toxic to cattle in Northeastern Brazil, with negative results. Pesqui Agropecu Brasil Ser Vet 1:345-352.

28 KHOLKUTE SD, MUDGAL V, DESHPANDE PJ, 1976
Screening of indigenous medicinal plants for antifertility potentiality. Planta Med 29(2):150-155.

29 KANERVA L, ESTLANDER T, JOLANKI R, 1990
Long-lasting contact urticaria from castor bean. J Amer Acad Dermatol 23(2):351-355.

30 GOWANLOCH JN, BROWN CA, 1943
Poisonous snakes, plants and black widow spider of Louisiana, Dept. Conservation, New Orleans,Louisiana. Book.

31 OZTEKIN-MAT A, 1994
Plant poisoning in Turkey. Ann Pharm Fr 52(5):260-265.

32 KOPFERSCHMITT J, FLESCH F, LUGNIER A, SAUDER P, JAEGER A, MANTZ JM, 1983
Acute voluntary intoxication by ricin. Human Toxicol 2(2):239-242.

33 CANIGUERAL S, 2003
Ricinus comunis. Vademecum de Fitoterapia, Editorial Masson, Barcelona, España, Jul.30,2003. URL: www.masson.es/book/fitoterapia.html

34 IRWIN R, 1992
Toxicity studies of castor oil in F344/N rats and B6C3F1 mice (dosed feed studies). Natl Toxicol Program Tech Rep SER 1992:25.

35 WEE YC, GOPALAKRISHNAKONE P, CHAN A, 1988
Poisonous plants in Singapore - a colour chart for identification with symptoms and signs of poisoning. Toxicon 26(1):47.

36 ALONSO J, 1998
Tratado de fitomedicina. Bases clínicas y farmacológicas. Buenos Aires, Argentina: ISIS ediciones SRL. p840.

37 FERNANDO R, 1988
Plant poisoning in Sri Lanka. Toxicon 26(1):20.

38 PERIS JB, STUBING G, 2003
Ricinus comunis. Vademecum de Fitoterapia, Editorial Masson, Barcelona, España, Jul.30,2003. URL: www.masson.es/book/fitoterapia.html

 

(dans les territoires avec usage significatif TRAMIL)

Guadeloupe:

  • carapate
  • karapat
  • karapat blanc

Barbade:

  • castor oil

Sainte-Lucie:

  • cawapat

Dominique:

  • cawapat

République dominicaine:

  • higuera

Haïti:

  • maskèti

Martinique:

  • palma Kristi
  • ricin
Usages significatifs TRAMIL

feuille séchée pulvérisée, application locale1

Recommandations Préparation et Posologie Références

Selon l’information disponible :

L’emploi de l’huile de la graine pour affection ganglionnaire, brûlure, rhumatisme, entorse ou traumatisme, est classé REC sur la base de l’usage significatif traditionnel documenté par les enquêtes TRAMIL, les études de toxicité et l’information scientifique publiée.

Si l’état du malade se détériore, ou que l’affection ganglionnaire, brûlure, rhumatisme, entorse ou traumatisme dure plus de 7 jours, consulter un médecin.

Toute application topique doit se confirmer à de strictes mesures d’hygiène, pour empêcher la contamination ou une infection supplémentaire.

Limiter son usage traditionnel à des brûlures superficielles (lésion épidermique), peu étendues (moins de 10% de la surface corporelle), et localisées en dehors de zones à haut risque telles que le visage, les mains, les pieds et les parties génitales.

L’emploi contre le mal de tête, le mal de dent, de l’huile de la graine pour la pneumopathie, l’asthme, de la feuille pour les brûlures et les rhumatismes, est classé REC sur la base de l’usage significatif traditionnel documenté par les enquêtes TRAMIL et les études de toxicité.

L’emploi de l’huile de la graine par voie orale contre la constipation, pneumopathie, asthme et parasites intestinaux, est classé REC sur la base de l’usage significatif traditionnel documenté par les enquêtes TRAMIL et l’information scientifique publiée.

En cas d’emploi de l'huile de graine par voie orale, n’employer qu’à dose unique.

La pneumopathie, l’asthme et les affections ganglionnaires représentant un risque pour la santé, consulter un médecin au préalable. L’emploi de ce remède peut être considéré comme un complément du traitement médical, sauf contre-indication.

La graine peut produire des réactions d’hypersensibilité.

Employer l’huile obtenue de manière artisanale, suivant les procédés traditionnels, ou celle acquise en pharmacie ou dans un dispensaire autorisé. En effet, l’huile de ricin produite industriellement à des fins non médicales peut ne pas avoir été soumise à la détoxification de l’albumine à la vapeur, il s’agit donc d’un produit hautement toxique dont l’ingestion peut rapidement entraîner la mort.

Ne pas utiliser chez la femme enceinte ou allaitante, ni chez les enfants en dessous de 12 ans.

Contre la constipation :

Prendre l’huile de la graine (acquise en pharmacie ou dans un établissement de santé autorisé) à raison de 1 à 3 cuillerées (15-45 millilitres) pour un adulte, de 1 à 3 petites cuillerées (5-15 mL) pour un enfant de plus de 2 ans et de 1 à 5 millilitres pour un enfant de moins de 2 ans. Administrer en une seule prise par voie orale et à jeun. Accompagner éventuellement de lait, de thé, ou de jus de fruit38.

Contre brûlure, pneumopathie et l'asthme, affection ganglionnaire, mal de tête, rhumatisme, entorse ou traumatisme :
Lavez la lésion avec de l'eau bouillie et du savon en particulier en cas de brûlure, appliquer l'huile sur la zone affectée, 2 à 5 centimètres cube avec un linge propre ou un pansement en cas de brûlure et en quantité suffisante pour frictionner (en cas de pneumopathie ou d'asthme) ou enfin pour de petits mouvements de massage circulaire dans les autres cas.

Egalement en cas de brûlure, mal de tête, rhumatisme, entorse ou traumatisme, on peut prendre 30 grammes de feuilles fraîches ou séchées, chauffées ou écrasées selon les cas, appliquer sur la zone affectée, couvrir avec un linge propre et renouveler 2 à 3 fois par jour.

Contre le mal de dents :
Préparer une décoction avec 30 grammes de feuilles dans 4 tasses (1 litre) d'eau, faire bouillir pendant 5 minutes dans un récipient ouvert. Laisser refroidir, filtrer et faire un bain de bouche 3 fois par jour, en prenant soin de ne pas ingérer.

Toute préparation médicinale doit être conservée au froid et utilisée dans les 24 heures.

1 WENIGER B, ROUZIER M, 1986
Enquête TRAMIL. Service Oecuménique d'Entraide SOE, Port au Prince, Haïti.

2 JEAN-PIERRE L, 1988
TRAMIL survey. St Lucia national herbarium, Castries, St Lucia.

3 EDOUARD JA, 1992
Enquête TRAMIL. Lycée agricole, Baie-Mahault, Guadeloupe.

4 FAUJOUR A, MURREY D, CHELTENHAM-CORBIN B, CARRINGTON S, 2003
TRAMIL survey. enda-caribbean, IICA & UAG, Saint Thomas, Barbados.

5 BALZ E, BOYER A, BURAUD M, 2007
Enquête TRAMIL à Marie-Galante. U. Bordeaux 3, U. Paris XI Chatenay-Malabry, UAG, Guadeloupe.

6 GERMOSEN-ROBINEAU L, GERONIMO M, AMPARO C, 1984
Encuesta TRAMIL. enda-caribe, Santo Domingo, Rep. Dominicana.

7 CHARLES C, 1988
TRAMIL survey. Movement for Cultural Awareness MCA, Roseau, Dominica.

8 BOULOGNE I, 2008
Enquête TRAMIL à Terre-de-Haut, Les Saintes, UAG, Guadeloupe (FWI).

9 WENIGER B, 1987-88
Encuesta TRAMIL. enda-caribe, Santo Domingo, Rep. Dominicana.

10 BOYER A, BURAUD M, 2007
Enquête TRAMIL à La Désirade. U. Paris XI Chatenay-Malabry, UAG, Guadeloupe.

11 LONGUEFOSSE JL, NOSSIN E, 1990-95
Enquête TRAMIL. Association pour la valorisation des plantes médicinales de la Caraïbe AVPMC, Fort de France, Martinique.

12 HEGNAUER R, 1973
Chemotaxonomy der Pflanzen. Basel, Schweiz: Birkhauser Verlag.

13 CHONKEL A, 1985
A propos de quelques graines toxiques existant à la Guadeloupe. Thèse Pharmacie, Montpellier, France.

14 DUKE JA, 1992
Handbook of phytochemical constituents of GRAS herbs and other economic plants. Boca Raton, USA: CRC Press.

15 DUKE JA, ATCHLEY AA, 1986
Handbook of proximate analysis tables of higher plants. Boca Raton, USA: CRC Press. p140.

16 DE SOUSA M, Matos ME, Matos FJ, MACHADO MI, CRAVEIRO AA, 1991
Constituintes químicos ativos de plantas medicinais Brasileiras. Laboratorio de produtos naturais, Fortaleza, Brasil: Ceará Edições UFC.

17 TSUPRIENKOVA T, 1982
Patente de autor de champú para el lavado del cabello (título original en ruso). URSS, A61K 7/06(53).

18 WENIGER B, 1992
Activités biologiques (cytotoxicité, effet sur la croissance, effet immunomodulateur) de drogues végétales de la Caraïbe utilisées par voie locale contre les brûlures, dans des systèmes de cellules animales et humaines en culture. Faculté de Pharmacie, Université de Strasbourg, Illkirch, France.

19 FRIAS AI, CABRERA H, GARCIA N, MORON F, VICTORIA MC, GERMOSEN-ROBINEAU, 2011
Efecto antiinflamatorio tópico del aceite de semilla de Ricinus communis (aceite de ricino) en el edema de la oreja inducido por aceite de Croton en ratones. Trabajo TRAMIL. Laboratorio Central de Farmacología. Universidad de Ciencias Médicas de La Habana, Cuba.

20 VERPOORTE R, DIHAL PP, 1987
Medicinal plants of Surinam IV. Antimicrobial activity of some medicinal plants. J Etnopharmacol 21(3):315-318.

21 MISAS CA, HERNANDEZ NM, ABRAHAM AM, 1979
Contribution to the biological evaluation of Cuban plants. I. Rev Cub Med Trop 31:5-12.

22 TANIRA MO, AGEEL AM, AL-SAID MS, 1989
A study on some Saudi medicinal plants used as diuretics in traditional medicine. Fitoterapia 60(5):443-447.

23 CECIL, RUSELL LA FAYETTE, 1987
Compendio de Medicina Interna. Madrid, España: Ed. Interamericana.

24 MARTINEZ MJ, LOPEZ M, MOREJON Z, BOUCOURT E, FUENTES V, MORON F, 2005
Irritabilidad dérmica primaria de semillas frescas peladas y machacadas de Ricinus communis L. Informe TRAMIL. Laboratorio Central de Farmacología, Facultad de Ciencias Médicas “Dr. Salvador Allende”, La Habana, Cuba.

25 MARTINEZ MJ, MOREJON Z, BOUCOURT E, FUENTES V, MORON F, 2003
Irritabilidad dérmica primaria de hoja seca y de hoja fresca de Ricinus communis L. Informe TRAMIL. Laboratorio Central de Farmacología, Facultad de Medicina “Dr. Salvador Allende”, La Habana, Cuba.

26 ROCHA E SILVA M, 1943
Studies on poisonous plants in the state of Sao Paulo. Toxicological expts on 27 plants which have been suspected of toxicity. Arq Inst Biol (Sao Paulo) 14:15.

27 CANELLA CFC, TOKARNIA CH, DOBEREINER J, 1966
Experiments with plants supposedly toxic to cattle in Northeastern Brazil, with negative results. Pesqui Agropecu Brasil Ser Vet 1:345-352.

28 KHOLKUTE SD, MUDGAL V, DESHPANDE PJ, 1976
Screening of indigenous medicinal plants for antifertility potentiality. Planta Med 29(2):150-155.

29 KANERVA L, ESTLANDER T, JOLANKI R, 1990
Long-lasting contact urticaria from castor bean. J Amer Acad Dermatol 23(2):351-355.

30 GOWANLOCH JN, BROWN CA, 1943
Poisonous snakes, plants and black widow spider of Louisiana, Dept. Conservation, New Orleans,Louisiana. Book.

31 OZTEKIN-MAT A, 1994
Plant poisoning in Turkey. Ann Pharm Fr 52(5):260-265.

32 KOPFERSCHMITT J, FLESCH F, LUGNIER A, SAUDER P, JAEGER A, MANTZ JM, 1983
Acute voluntary intoxication by ricin. Human Toxicol 2(2):239-242.

33 CANIGUERAL S, 2003
Ricinus comunis. Vademecum de Fitoterapia, Editorial Masson, Barcelona, España, Jul.30,2003. URL: www.masson.es/book/fitoterapia.html

34 IRWIN R, 1992
Toxicity studies of castor oil in F344/N rats and B6C3F1 mice (dosed feed studies). Natl Toxicol Program Tech Rep SER 1992:25.

35 WEE YC, GOPALAKRISHNAKONE P, CHAN A, 1988
Poisonous plants in Singapore - a colour chart for identification with symptoms and signs of poisoning. Toxicon 26(1):47.

36 ALONSO J, 1998
Tratado de fitomedicina. Bases clínicas y farmacológicas. Buenos Aires, Argentina: ISIS ediciones SRL. p840.

37 FERNANDO R, 1988
Plant poisoning in Sri Lanka. Toxicon 26(1):20.

38 PERIS JB, STUBING G, 2003
Ricinus comunis. Vademecum de Fitoterapia, Editorial Masson, Barcelona, España, Jul.30,2003. URL: www.masson.es/book/fitoterapia.html